L’implantation des industries de transformation sont une condition sine qua none de faire face à la pauvreté. Cependant, les produits à mettre sur le marché doivent être compétitifs. Pour y parvenir, on tiendra compte de l’aspect économique et écologique    

« Je suis pauvre parce que je n’ai pas de travail rémunéré. Je suis pauvre parce que je n’ai pas d’argent ou d’initiative. Le pays est pauvre parce qu’il n’existe pas d’initiatives, parce que la politique nationale de développement est mal conçue ou à cause d’un handicap lié au passé sombre du pays… ? », s’interroge Seth Gashaka, directeur du développement industriel. Cela dans son exposé intitulé « Promotion et Gestion des Petites et Moyennes Entreprises (PME) et Petites et Moyennes Industries (PMI) du Burundi » lors de la semaine de l’industrialisation.

Pourtant, affirme-t-il, des pays comme le Singapour se sont développés sur base de rien. Et de renchérir : « Tout commence par l’imagination dans la création d’une industrie. Viennent ensuite les machines, la matière première, l’énergie et l’eau », explique M.Gashaka avant de faire remarquer que le produit doit porter un nom protégé et certifié.

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